9h, 10h*, 11h, 12h* et 18h30
18h30 (samedi)
* Messes à la crypte. Ces messes n'ont lieu que s'il y a école le lundi qui suit.
lundi : 9h et 19h
du mardi au vendredi : 9h, 12h15* et 19h
samedi : 9h et 12h15*
*Les messes de 12h15 sont interrompues pendant les vacances scolaires.
Adoration Eucharistique
Dans l'église :
Dans l'oratoire :
Laudes
L’adoration Eucharistique et les Laudes sont interrompues pendant les vacances scolaires
Ouverture de l’église
de 7h à 21h le mardi
de 7h à 20h du mercredi au vendredi
de 8h à 20h du samedi au lundi et tous les jours des vacances scolaires
Permanence d’accueil par un prêtre
mardi de 17h* à 18h45 et de 19h30 à 21h**
mercredi à vendredi de 17h* à 18h45
samedi de 11h à 12h** et de 17h à 18h (à gauche dans l’église).
*18h pendant les vacances scolaires
** cette plage d'accueil est suspendue pendant les vacances scolaires
Accueil par un laïc
lundi à vendredi de 9h à 12h15 et de 15h à 19h.
samedi de 10h à 12h.
Pendant les vacances scolaires : du lundi au vendredi de 10h à 12h.
27 rue d’Armaillé
75017 Paris
Tel : 01 73 73 95 00
paroisse@saintferdinanddesternes.fr
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Tous les chemins mènent à Rome
L’année jubilaire a commencé, vous le savez, le 24 décembre 2024, lors de l’ouverture par le Pape François de la porte sainte de la basilique Saint-Pierre de Rome.
Tout au long de cette année, des « Pèlerins de l’Espérance » (thème du jubilé 2025) se rendront à Rome individuellement ou en groupe. Cette semaine se tiendra du 20 au 23 février le jubilé des diacres du monde entier. C’est Augustin, notre plus jeune diacre, qui nous représentera. La semaine suivante, c’est le diocèse de Paris qui se rendra à Rome du 24 au 28 février.
Mais si, pour de multiples raisons légitimes, nous sommes empêchés de nous rendre à Rome, comment alors prendre part au jubilé pour vivre ce temps de conversion, de pénitence et de pardon qui est proposé à tous ?
Rassurez-vous, tout est prévu !
En effet, tout en restant à Paris, il est possible de s’unir à cette démarche jubilaire pour obtenir l’indulgence plénière et bénéficier des grâces attenantes à cette année. D’abord, si on est immobilisé, en priant depuis son domicile. Mais, si on peut se déplacer, on peut (on doit !) se rendre dans une église jubilaire de notre diocèse, une des six basiliques choisies par Monseigneur Ulrich : Notre-Dame du Perpétuel Secours, Sainte-Jeanne d’Arc, Sainte-Clotilde, Notre-Dame des Victoires, le Sacré-Cœur de Montmartre et, bien sûr, la basilique métropolitaine Notre-Dame, cathédrale de notre archidiocèse.
Voici deux propositions faites par notre paroisse pour se rendre à la cathédrale.
Soit participer à la marche de Saint Joseph le samedi 22 mars. Elle est réservée à tous les messieurs. Départ 8h.
Soit participer au pèlerinage paroissial, ouvert à tous, le samedi 29 mars. Plusieurs départs possibles.
Pour mémoire, les conditions pour obtenir l’indulgence plénière et découvrir la miséricorde infinie de Dieu sont, en plus d’une participation à un pèlerinage, de communier, de recevoir le sacrement de réconciliation et de prier aux intentions du Saint-Père.
Que chacun puisse faire « l’expérience vivante de l’amour de Dieu qui suscite dans le cœur l’espérance certaine du salut dans le Christ. » (Extrait de « Spes non confundit », bulle d’indiction du jubilé ordinaire 2025).
Bon jubilé, belle année sainte à tous !
François DÉPREZ, diacre
« Je suis mort pendant 53 minutes1 »
C’est par ces mots que Nicolas d’Hueppe a commencé le témoignage qu’il a donné dans notre paroisse mercredi dernier. Récit émouvant de son accident cardiaque alors qu’il faisait du vélo. Ce qu’il dit, ce sont les sauveteurs qui le lui ont raconté ultérieurement car il ne se souvient de rien.
En revanche, il nous a relaté les différentes étapes de son long chemin de convalescence : se laisser transformer par le cycle du deuil, écouter les signaux faibles pour éviter le pire, lâcher le contrôle de sa vie pour accéder à l’essentiel, vivre l’instant présent en pleine conscience en changeant sa relation au temps, vivre l’expérience de la mort dans sa chair.
Face aux défis actuels où le corps a été remplacé par les robots, l’esprit par l’intelligence artificielle, rien ne pourra se substituer au cœur. Il nous faut donc l’écouter, apprendre à qualifier nos émotions et privilégier le cœur sur le cerveau pour construire une économie du cœur.
En conclusion, il nous invitera à apprendre à vivre avec notre cœur car l’amour est l’ultime sentiment de notre vie. Si un mot pouvait qualifier notre existence au jour de notre mort, ce serait l’amour.
Père Stanislas LEMERLE, curé
1 Nicolas d’Hueppe, « 53 minutes, survivre et renaître. » Iseran Éditions, 2024