LIENS

>>>>>     Inscriptions catéchisme 2025-2026     <<<<<

HORAIRES

MESSES DOMINICALES + -

9h, 10h*, 11h, 12h* et 18h30 

18h30 (samedi)

* Messes à la crypte. Ces messes n'ont lieu que s'il y a école le lundi qui suit.

Messes en semaine + -

lundi : 9h et 19h

du mardi au vendredi : 9h, 12h15* et 19h

samedi : 9h et 12h15*

*Les messes de 12h15 sont interrompues pendant les vacances scolaires.

Adoration eucharistique et laudes + -

Adoration Eucharistique

Dans l'église :

  • du lundi au vendredi 9h30-18h45
  • samedi 9h30-18h15
  • dimanche 17h-18h15

Dans l'oratoire :

  • du lundi au jeudi 18h45-00h

Laudes 

  • du mardi au samedi 8h40

L’adoration Eucharistique et les Laudes sont interrompues pendant les vacances scolaires

OUVERTURE DE L’ÉGLISE ET ACCUEIL + -

Ouverture de l’église

de 7h à 21h le mardi

de 7h à 20h du mercredi au vendredi

de 8h à 20h du samedi au lundi et tous les jours des vacances scolaires

Permanence d’accueil par un prêtre

mardi de 17h* à 18h45 et de 19h30 à 21h**

mercredi à vendredi de 17h* à 18h45

samedi de 11h à 12h** et de 17h à 18h (à gauche dans l’église).

*18h pendant les vacances scolaires

** cette plage d'accueil est suspendue pendant les vacances scolaires

Accueil par un laïc

lundi à vendredi de 9h à 12h15 et de 15h à 19h.
samedi de 10h à 12h.

Pendant les vacances scolaires : du lundi au vendredi de 10h à 12h.

NOUS CONTACTER + -

27 rue d’Armaillé
75017 Paris

Tel : 01 73 73 95 00
paroisse@saintferdinanddesternes.fr

FEUILLE D’INFORMATION PAROISSIALE

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L'Édito

Fête des Pères et Sainte Trinité : un amour qui unit

Ce dimanche, deux célébrations se rencontrent : la solennité de la Sainte Trinité et la Fête des Pères. Une coïncidence heureuse qui nous invite à contempler Dieu, non pas comme un mystère abstrait, mais comme une communion vivante d’amour. Le Père, le Fils et l’Esprit Saint : trois personnes, un seul Dieu. Une relation d’amour total, de don et de réciprocité.

Nous rendons grâce aussi pour nos pères, ceux qui nous ont donné la vie, qui nous ont élevés, guidés, et parfois portés dans le silence de leur présence. Nous pouvons voir en eux un reflet de ce mystère trinitaire. Car être père, ce n’est pas seulement engendrer, c’est aimer, se donner, accompagner, protéger, corriger aussi, dans la fidélité et la tendresse.

Dans une époque où les repères familiaux vacillent, cette double fête nous rappelle que toute paternité tire son sens de la Paternité divine : un amour premier, fidèle, miséricordieux, tourné vers la vie. Et dans ce lien, les pères sont appelés à être signes visibles de l’amour invisible de Dieu.

En ce sens, l’évangile de Jean est un bel écho au rôle paternel : un rôle discret mais essentiel, un engagement à transmettre, à faire confiance au temps, à croire en la capacité de l’autre à grandir. En ce jour de fête, rendons grâce pour tous ceux qui, comme l’Esprit promis par le Christ, accompagnent les chemins de vie avec patience et vérité.

Augustin de Cagny, diacre

Le coin du curé

Les principes de la loi

De mes études profanes, il demeure quelques restes. J’en remercie mes professeurs

Parmi ces quelques beaux restes je me souviens de deux principes concernant les caractères de la loi :

  • la loi régit l’intérêt général
  • la loi vise à protéger le plus faible.

Or les lois concernant la bioéthique, depuis la dépénalisation de l’avortement jusqu’à la future loi sur l’euthanasie, ne respectent plus ces principes et pire, au lieu de les considérer comme inconstitutionnelles par les « sages » du Palais royal, le droit à l’avortement a été inscrit dans la Constitution avec les conséquences que cela représente notamment pour ceux qui s’opposeraient à pratiquer cet acte, le considérant comme un crime.

Si ces lois sont inconstitutionnelles, elles sont aussi révélatrices d’une société décadente, comme l’ont été en leur temps Rome ou Byzance. Certains parlent d’une rupture anthropologique. Elles sont soutenues par les mêmes arguments, le droit à disposer de son corps, par les mêmes méthodes, la dramatisation des cas particuliers, et par le même militantisme.

D’un côté on occulte la mort et on nie l’importance de la vie.

On emploie des périphrases pour masquer la vérité.

On change le sens des mots, en appelant fraternité le fait de donner la mort.

On parle de progrès là où il s’agit de régression.

Face à ces contradictions, les évêques d’Ile de France ont publié le 25 mai dernier un  message affirmant que « l’espérance n’est pas morte, nous croyons que l’amitié qui tend la main pour vivre jusqu’à la dernière seconde entretient la paix de celui qui meurt et de celui qui l’accompagne ».

Gardons cette espérance pour demeurer en paix avec  notre conscience…

Père Stanislas LEMERLE, curé

ACTUALITÉS DE LA PAROISSE

PRIÈRE

La vie n’est qu’un instant, une heure passagère. Ma vie n’est qu’un seul jour qui m’échappe et qui fuit. Tu le sais, ô mon Dieu, pour t’aimer sur la terre, je n’ai rien qu’aujourd’hui. Oh ! Je T’aime, Jésus ! Vers Toi mon âme aspire pour un jour seulement, reste mon doux appui, viens régner dans mon cœur, donne-moi Ton sourire rien que pour aujourd’hui.
Sainte-Thérèse de l’Enfant Jésus
Sainte-Thérèse de l’Enfant Jésus

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