9h, 10h*, 11h, 12h* et 18h30
18h30 (samedi)
* Messes à la crypte. Ces messes n'ont lieu que s'il y a école le lundi qui suit.
lundi : 9h et 19h
du mardi au vendredi : 9h, 12h15* et 19h
samedi : 9h et 12h15*
*Les messes de 12h15 sont interrompues pendant les vacances scolaires.
Adoration Eucharistique
Dans l'église :
Dans l'oratoire :
Laudes
L’adoration Eucharistique et les Laudes sont interrompues pendant les vacances scolaires
Ouverture de l’église
de 7h à 21h le mardi
de 7h à 20h du mercredi au vendredi
de 8h à 20h du samedi au lundi et tous les jours des vacances scolaires
Permanence d’accueil par un prêtre
mardi de 17h* à 18h45 et de 19h30 à 21h**
mercredi à vendredi de 17h* à 18h45
samedi de 11h à 12h** et de 17h à 18h (à gauche dans l’église).
*18h pendant les vacances scolaires
** cette plage d'accueil est suspendue pendant les vacances scolaires
Accueil par un laïc
lundi à vendredi de 9h à 12h15 et de 15h à 19h.
samedi de 10h à 12h.
Pendant les vacances scolaires : du lundi au vendredi de 10h à 12h.
27 rue d’Armaillé
75017 Paris
Tel : 01 73 73 95 00
paroisse@saintferdinanddesternes.fr
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Fête des Pères et Sainte Trinité : un amour qui unit
Ce dimanche, deux célébrations se rencontrent : la solennité de la Sainte Trinité et la Fête des Pères. Une coïncidence heureuse qui nous invite à contempler Dieu, non pas comme un mystère abstrait, mais comme une communion vivante d’amour. Le Père, le Fils et l’Esprit Saint : trois personnes, un seul Dieu. Une relation d’amour total, de don et de réciprocité.
Nous rendons grâce aussi pour nos pères, ceux qui nous ont donné la vie, qui nous ont élevés, guidés, et parfois portés dans le silence de leur présence. Nous pouvons voir en eux un reflet de ce mystère trinitaire. Car être père, ce n’est pas seulement engendrer, c’est aimer, se donner, accompagner, protéger, corriger aussi, dans la fidélité et la tendresse.
Dans une époque où les repères familiaux vacillent, cette double fête nous rappelle que toute paternité tire son sens de la Paternité divine : un amour premier, fidèle, miséricordieux, tourné vers la vie. Et dans ce lien, les pères sont appelés à être signes visibles de l’amour invisible de Dieu.
En ce sens, l’évangile de Jean est un bel écho au rôle paternel : un rôle discret mais essentiel, un engagement à transmettre, à faire confiance au temps, à croire en la capacité de l’autre à grandir. En ce jour de fête, rendons grâce pour tous ceux qui, comme l’Esprit promis par le Christ, accompagnent les chemins de vie avec patience et vérité.
Augustin de Cagny, diacre
Les principes de la loi
De mes études profanes, il demeure quelques restes. J’en remercie mes professeurs
Parmi ces quelques beaux restes je me souviens de deux principes concernant les caractères de la loi :
Or les lois concernant la bioéthique, depuis la dépénalisation de l’avortement jusqu’à la future loi sur l’euthanasie, ne respectent plus ces principes et pire, au lieu de les considérer comme inconstitutionnelles par les « sages » du Palais royal, le droit à l’avortement a été inscrit dans la Constitution avec les conséquences que cela représente notamment pour ceux qui s’opposeraient à pratiquer cet acte, le considérant comme un crime.
Si ces lois sont inconstitutionnelles, elles sont aussi révélatrices d’une société décadente, comme l’ont été en leur temps Rome ou Byzance. Certains parlent d’une rupture anthropologique. Elles sont soutenues par les mêmes arguments, le droit à disposer de son corps, par les mêmes méthodes, la dramatisation des cas particuliers, et par le même militantisme.
D’un côté on occulte la mort et on nie l’importance de la vie.
On emploie des périphrases pour masquer la vérité.
On change le sens des mots, en appelant fraternité le fait de donner la mort.
On parle de progrès là où il s’agit de régression.
Face à ces contradictions, les évêques d’Ile de France ont publié le 25 mai dernier un message affirmant que « l’espérance n’est pas morte, nous croyons que l’amitié qui tend la main pour vivre jusqu’à la dernière seconde entretient la paix de celui qui meurt et de celui qui l’accompagne ».
Gardons cette espérance pour demeurer en paix avec notre conscience…
Père Stanislas LEMERLE, curé